Cinq jours plongés au cœur de la forêt pour une expérience graphique d’urgence, voici ce que Mathias Schweizer et Laurent Tixador ont proposé à des étudiants des Beaux-arts de Besançon, courant mai, sous le nom inquiétant et lyrique de La fonderie des glaces.
Un atelier de survie en terrain hostile produisant, avec les moyens du bord, un genre d’archéologie de l’impression et de l’expression. Le graphisme pris comme un terrain d’aventure…
un reportage photographique de Martin Clamens.
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