"La gravure comme empreinte, trace du
corps, sillon. Déplacer l'échelle, creuser des corps. Les multiplier,
les déformer, les mettre en scène.
La plaque de métal s'est
transformée peu à peu en grande matrice de bois. Un face à face, un
geste ample et dansant. Un corps à mon échelle.
Je suis à la
recherche de ces corps en mouvement, en croissance, en vie, qui semblent
se métamorphoser, évoluer, muter. Des hybrides, des fous, des monstres
parfois.. Des bonshommes en marge. Des drôles de bêtes. Des mondes
gaiement sombres, mêlant vie et mort, nourris par les images de Bosch,
Brueghel, Ensor ou Goya.
Retour au moyen-âge fantastique et aux
formes grotesques. Retour à une lecture des symboles oubliés, des
connections à réinventer. Revivre les rituels et croyances dans notre
rapport à la terre, au sol, à la nourriture, au cosmos et à l'autre."
Agnès DUBART
Fresque carnavalesque, 2010
Xylogravure
244 x 122 cm
Xylogravure
244 x 122 cm
La conscience, 2008
Xylogravure sur papier de riz
100 x 150 cm
Xylogravure sur papier de riz
100 x 150 cm
Femme-oiseau, 2009
Xylogravure
50 x 100 cm
Xylogravure
50 x 100 cm
Fontaine, 2010
Xylogravure imprimée sur papier de riz
70 x 175 cm
70 x 175 cm
70 x 175 cm
sources : http://agnesdubart.blogspot.fr/
Impressionnant ! ! !
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