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mardi 31 mai 2016

Lise Follier-Morales // Jaune citron – Noir gravure


Galerie l’Échiquier

présente



Lise Follier-Morales
 
Jaune citron – Noir gravure
-
Gravures, peintures et céramiques

 
Vernissage le vendredi 3 juin 2016
                                                      
à partir de 18h30 en présence de l’artiste


Exposition du 4 juin au 3 juillet 2016

Pot de pré-clôture le vendredi 1 juillet 2016 à partir de 18H30


Jaune citron - Noir gravure

Des poires, des pommes, des citrons, des mandarines, des grenades et des petits pois, tels sont les fruits de la passion, la dernière en date, de Lise Follier-Morales, à qui chaque saison apporte sa récolte de sujets nouveaux. Depuis six mois, elle les a élus pour leur rondeur et leur aptitude à poser successivement, comme dans une cabine Photomaton, devant son œil de graveur. Les images captées d’abord dans des dessins à la gouache puis dans des gravures témoignent de sa gourmandise de formes et de couleurs. Jaune citron, rouge grenade ou vert pomme, les spécimens choisis s’affichent seuls ou en groupes. Dans des linogravures à planche perdue, la sensibilité chromatique de Lise s’exprime par le dialogue de couleurs saturées et de subtils mélanges obtenus grâce aux multiples passages sous la presse (de trois à sept, selon les planches).
Toujours avide de techniques nouvelles, l’artiste ne s’est pas contentée de tirer le portrait de ses fruits en couleurs : avec une habileté toute aussi convaincante, elle a utilisé la gravure sur carton pour donner une version en noir et blanc à ces « clichés » gravés. A l’aide d’états successifs, elle a fait émerger de l’ombre des volumes modelés par des dégradés et des effets de matière à faire pâlir d’envie les adeptes de la pellicule sensible.

Et comme pour éprouver la patience de ses modèles, elle a enrichi cet ensemble en deux dimensions de céramiques qui, en apportant la troisième, offrent un contrepoint original à la présente exposition.


Valérie Sueur-Hermel
Conservateur en chef au département des Estampes 
et de la photographie de la Bibliothèque nationale de France


Galerie l’Échiquier

16, rue de l’Échiquier, 75010 Paris. Tél : 06 82 85 32 30
 www.galerie-echiquier.comgalerie.echiquier@gmail.com


Ouvert samedi de 14h30 à 19h00,  
dimanche de 14h30 à 18h00, 
et aussi sur rendez-vous


jeudi 25 février 2016

Catherine Gillet / Comme une idée qui passe / Galerie l’Échiquier


Galerie l’Échiquier

présente
 
 

Catherine Gillet
 
Comme une idée qui passe
    
Gravures

Vernissage le vendredi 26 février 2016 à partir 
de 18h30 en présence de l’artiste

Exposition du 27 février au 27 mars 2016

Ouvert samedi de 14h30 à 19h00,  
dimanche de 14h30 à 18h00, et aussi sur rendez-vous 
 
Pot de pré-clôture le vendredi 25 mars 2016 à partir de 18H30
 
 
 Galerie l’Échiquier
             16, rue de l’Échiquier, 75010 Paris. Tél : 06 82 85 32 30
   galerie.echiquier@gmail.com

jeudi 10 septembre 2015

Galerie l’Échiquier 
présente / 
Dominique Aliadière / Éclats de vert en noir et blanc


Galerie l’Échiquier

présente


Dominique Aliadière

Éclats de vert en noir et blanc
 
Gravures

Vernissage le vendredi 11 septembre 2015 à partir de 18h30

Exposition du 12 septembre au 11 octobre 2015

 
Galerie l’Échiquier
16 rue de l’Échiquier, 75010 Paris.

Facebook galerie l'Échiquier 
galerie.echiquier@gmail.com
Ouvert samedi de 14h30 à 19h00,
dimanche de 14h30 à 18h00, 
et aussi sur rendez-vous
 

mardi 9 septembre 2014

Gravures d'Olivier Besson à l'Oeil du Huit


L'illustration contemporaine utilise  le bois gravé pour sa valeur graphique incomparable , comme on peut le voir dans les beaux livres pour  enfants (mais aussi pour les amateurs) d'Olivier Besson . Si on veut contempler les originaux , c'est à l'Oeil du Huit à Paris 8 rue Milton dans le neuvième , du 16/9 au 5/10/2014 . Vernissage le 18 septembre à partir de 18H30 .
L'artiste expose également de grands bois  tirés en monotypes et marouflés sur toile.

"Explosion pirate" illustration d'un texte d'Arthur Conan Doyle




illustrations pour "Le bateau ouvert "de Stephen Crane au Seuil




Trois pages de l'ouvrage "Du rouge papou au vert de rage" Thierry Magnier éditeur.

Deux naturalistes au paradis  "Explorateurs " aux éditions Thierry Magnier



Tigre et poissons dans "gravures de bêtes"   Thierry Magnier




gravures pour Un catalogue de Paris bibliothèques


"La route" bois gravé monotype 100x100cm


"Conquistador fléché"  bois gravé monotype 100x100cm


Eléphant   bois gravé Monotype 70x100cm


Sylvain S.














mercredi 21 mai 2014

exposition "Pensées liquides" de Catherine Gillet

C’est une buée sur une vitre, quelques légers nuages échappés d’un ciel pommelé, une aile de papillon, un élytre de scarabée, une feuille d’automne flottant à la surface lumineuse d’un étang, des bulles de champagne, quelque accident du cuivre volontairement conservé, quelques taches magnifiées par le burin : les « Pensées liquides » de Catherine Gillet sont superbement cristallisées sur le blanc du papier, en des noirs délicatement enrichis d’un zeste de bleu, d’un zeste de rouge, de bistre.
Catherine Gillet apporte un soin particulier à la couleur de ses encres, mais tout est important dans son art qui ne souffre aucune négligence. On y lit tout le sérieux qu’exige la poésie. D’où ces titres décalés qui lui viennent à l’esprit en feuilletant les dictionnaires et donnent un petit aspect surréaliste à ses images qu’ils ne définissent pas vraiment. On lui pardonnera qu’ils sentent un peu la philosophie, tant il y a à voir dans ce « Presque rien », ainsi qu’elle dénomme un des triptyques venus s’ajouter aux vingt-cinq gravures spécialement exécutées pour la présente exposition.
L’art du burin est ancestral, certains le croient chauve, édenté, podagre, pourquoi pas gâteux. Ils ont tort. Catherine Gillet manifeste qu’il est toujours jeune et vaillant, bien affûté. Sans exhiber une virtuosité qui choquerait sa modestie naturelle, elle fait montre d’un impressionnant vocabulaire graphique exalté par une inaltérable patience, nous entraînant dans le piège délicieux de sa méditation.

Maxime Préaud
19 avril 2014
Exposition du 24 mai au 29 juin 2014

Ouverture exceptionnelle 
le lundi 26 mai de 14h00 à 22h00

Fermeture exceptionnelle 
le week-end du 31 mai et 1er juin
 Galerie l’Échiquier - 16 rue de l’Échiquier, 75010 Paris.
Facebook galerie l'Échiquier - galerie.echiquier@gmail.com
Ouvert samedi de 14h30 à 19h00, dimanche de 14h30 à 18h00, 

et aussi sur rendez-vous

dimanche 5 janvier 2014

« Vives natures mortes » Maxime Préaud, peintures, dessins, gravures

Les objets, dans l’articulation de notre mémoire au réel, nous tiennent lieu de ligaments. Et leurs pantomimes comme leur immobilité actionnent en nous la mécanique du souvenir.

Les « natures mortes » n’ont donc de défuntes que le nom, comme le démontrent magnifiquement les peintures et les gravures de Maxime Préaud, représentations tantôt tendres ou graves, tantôt pleines d’humour de ces objets du quotidien que d’ordinaire nous méprisons, peut-être parce qu’obscurément nous leur reprochons de nous voir de trop près. Au travers d’oeuvres réalisées de 1985 à nos jours dans des techniques mélangées (pastel, acrylique, gouache) et de gravures vives, expressionnistes presque, voici qu’affleure toute la poésie d’un monde immobile et silencieux grâce au talent de Maxime Préaud, dont l’oeuvre démontre qu’il n’est pas d’objet dont l’humilité domestique ne mérite d’être traduite. Ainsi de simples sacs poubelles, obèses plastifiés, ventrus et calmes, sûrs de leur fait, comme ces bourgeois du XIXe dans leurs culottes de velours… En voici d’écarlates, si excentriques pour nous Français qui ne connaissons le sac poubelle que dans sa livrée sombre du tiers-état… importés d’Angleterre, ce sont les Habits Rouges de la poubelle, et on se prendrait presque, en les remplissant, à leur donner du « My Lord ».

Ces chaussures, usées, vaguement renfrognées, une bottine de femme type cousette qu’affectionnait Hugo, et puis cette basket bleu pâle qui gît après sa maraude urbaine…, une brosse à dents, bien droite dans son verre près de son époux le dentifrice qui met trop d’after-shave à la menthe, planté dans un verre qui brille… et, dans des cuisines, des bouteilles mi- pleines de spiritueux, d’air, de lumière et de souvenirs…, des fruits trop mûrs, travaillés au pastel mêlé d’acrylique, cette cuisine peinte dans un matin provençal, des pommes sensuelles et pourpres, lourdes, en contrepoint d’une bouteille vide, claire et d’un bol bleuâtre sur une nappe jaune et bleue, toile envahie par l’été, presqu’une enluminure, comme si toute la cuisine avait mûri en même temps que les fruits ; d’autres tables peuplées de coloquintes ventrues et fanées près de cafetières sans âge et dont la forme rassure…, des objets racontés plusieurs fois, tel ce flacon bleu, effilé et haut comme un minaret et qui vient de Venise, ou ce bol rouge et blanc, beau comme un conte, aux couleurs de Blanche-Neige : ici, un masque africain, brut et vivant, là, un visage de céramique, mat et étonné… Le peintre, plus que la ressemblance avec le modèle, traduit la provenance, et derrière le sujet peint, c’est bien en filigrane ce « quelqu’un » qui a donné ou légué le bol, le flacon, le masque, qui apparaît. Le spectateur accède ainsi à la légende des choses, voire à leur généalogie.

Cette veste pendue sur sa patère, pathétique comme un amoureux éconduit au téléphone, presque orpheline, semble attendre une forme, quelque chose qui la peuple, et ses plis racontent l’absence, graves comme ceux du pallium de quelque saint peint à l’antique…, une autre sur un cintre exhibe, dérisoire, sa rangée de feutres figée dans la poche de revers, ainsi un général vaincu ses médailles… Enfin, dans des gravures nettes comme le sceau d’un monarque, la palette du peintre est alors en majesté : il faut voir ces cafetières et ces flacons vert pomme, rouge cardinal, ces ustensiles quasi dynastiques qui posent, saturés comme des autochromes, rehaussés d’ombres violettes. Maxime Préaud célèbre alors non la majesté du réel, mais celle du temps qui passe dans les amours qui durent, et ses peintures comme ses gravures chroniquent alors, élégiaques et gaies, ceux qui sont « de l’autre côté ». Pour preuve ces crânes, dont les orbites irradient parfois d’une lumière noire et mélancolique la scène du tableau…, mais la couleur revient toujours, triomphante, le crâne seul est alors peint dans un fond bleu ciel, rayé par le vif mouvement du pinceau. Et voici que la « vanité » vibre, sous une palette tonique qui balafre la fatalité, avouant nous parler malgré tout, encore et toujours, de la vie.

Murielle Antonello Terzago - 14 décembre 2013

Exposition du 11 janvier au 9 février 2014

Galerie l’Echiquier – 16, rue de l’Echiquier – 75010 Paris



dimanche 8 décembre 2013

à-trait / Le TRAIT, Graveurs d'Aujourd'hui / 2013

à-trait
La Cité Internationale des Arts accueille du 6 au 15 décembre 
 l'exposition d'estampes organisée par « Le TRAIT, Graveurs d'Aujourd'hui ». 
Cette manifestation embrassant toutes les techniques de gravure et 
 options esthétiques regroupera près de deux cents œuvres 
de ses sociétaires et d'artistes invités.

Elle s'inscrit en résonance avec la parution récente du 3ème Cahier du Trait 
qui réunit autour du thème « à-trait » des estampes de José Hernandez, 
Dominique Neyrod, Edith Schmid, Valérie Vahey, et 
deux textes inédits, l'un de Michel Deguy, 
l'autre de Cécile Portier.
Artistes exposants :
Aliadière ■ Allirand ■ Belin ■ Belorgey ■ Boisgallays ■ Borrelli ■ Boucraut ■ Boxer ■ Busson ■ Darmon ■ Delouvrier ■ Dublineau ■ Dubois ■ Flaiszman ■ Follier‑Morales ■ Fourmestraux ■ Gadenne ■ Gauthier‑Chartrette ■ Gendre‑Bergère ■ Gillet ■ Grall ■ Hernández ■ Hue ■ Jobert ■ Kim ■ Laffly ■ Laurent‑Deneuil ■ Lodge ■ Luce ■ Maes ■ Maillard ■ Maldague ■ Mandorla ■ Mihuleac ■ Moindraut ■ Moreh ■ Mouttet ■ Neyrod ■ Nesa ■ Pauleen.K ■ Paulus ■ Perramant ■ Pomper ■ Quinby ■ Rothchild ■ Rouilly‑le‑Chevallier ■ Schmid ■ Sharoff ■ Tissot ■ Van de Roer ■ Vahey ■ Vielle
Avec un hommage à :
Louis-René Berge ■ Rodrigo Barrientos ■ Helène Csech ■

Exposition du 6 au 15 décembre 2013 
Horaires d'ouverture
tous les jours de 14h à 19h 

Lieu/contacts :
Cité Internationale des Arts
18, rue de l'Hôtel de ville
75004 Paris
métro : Pont Marie

sources : catalogue

jeudi 14 novembre 2013

Pablo Picasso / Monotypes, dessins, gravures, peintures / Bouquinerie de l'Institut

© Succession Picasso 2013
© Bouquinerie de l'Institut


 Ensemble exceptionnel de monotypes, de gravures, de dessins 
et peintures de Pablo Picasso, 
datant des années trente,
très rarement exposés.

Exposition du 26 Octobre au 21 Décembre 2013
 à la Bouquinerie de l'Institut et 
à la Galerie de la Bouquinerie de l'Institut

© Succession Picasso 2013
© Bouquinerie de l'Institut

GALERIE DE LA BOUQUINERIE
3bis Rue des Beaux-Arts - 75006 Paris

BOUQUINERIE DE L’INSTITUT
12 rue de Seine - 75006 Paris

© Succession Picasso 2013
© Bouquinerie de l'Institut
© Succession Picasso 2013
© Bouquinerie de l'Institut
© Succession Picasso 2013
© Bouquinerie de l'Institut
© Estate Brassai - RMN - Grand Palais 2013

© Estate Brassai - RMN - Grand Palais 2013

© Estate Brassai - RMN - Grand Palais 2013

© Succession Picasso 2013
© Bouquinerie de l'Institut
© Succession Picasso 2013
© Bouquinerie de l'Institut
© Succession Picasso 2013
© Bouquinerie de l'Institut
© Succession Picasso 2013
© Bouquinerie de l'Institut

Tel: + 33 1 55 42 62 42 
www.bouquinerie-institut.com

sources : catalogue de l'exposition édité par Bouquinerie de l'Institut, Quédillard S.A.